L’éternel duel agite toujours autant, 2025 ne change rien à l’affaire, la question se pose, la fenêtre PVC s’impose pour beaucoup de foyers. L’équation reste la même, économies d’énergie, esthétique adaptable, entretien facile, le choix se simplifie. Vous hésitez encore ? La solution idéale serait bien celle qui dure, qui protège, qui s’intègre, et la fenêtre PVC coche franchement beaucoup de cases, ne tournons pas autour du pot.
Dents serrées en janvier, la chaleur qui vous réveille en juillet, les bruits portés par la rue s’invitent quand vous n’aviez rien demandé, la fenêtre fait tout basculer d’un coup. Vous comparez dans votre tête, le bois qui respire le vécu, le PVC tout neuf, moderne et rassurant. Les ménages s’orientent majoritairement vers la fenêtre PVC en 2025, et les raisons se glissent dans les chiffres du chauffage, la quiétude du salon ou la main du décorateur. Pour lever le doute, consultez cette page, un détour par des photos ou des conseils aide à visualiser ce que votre logement deviendra dans quelques mois. Vous hésitez, le choix vous gratte encore ? C’est normal, il mérite une vraie réflexion et cette comparaison va bien vous bousculer.
Les fondamentaux des fenêtres PVC et des fenêtres en bois, tout savoir sur les structures et normes actuelles
Comprendre, cela commence par la structure de la fenêtre PVC d’un côté, celle du bois de l’autre. Les fabricants ne manquent pas d’imagination, ouverture oscillo-battante très plébiscitée pour la praticité, mais la liste se prolonge, rien ne vous bloque. Une fenêtre PVC, c’est une structure alvéolaire, un assemblage sans plomb, compact et léger, le tout recyclable en respect RE2020, la planète souffle. Différents modèles se glissent dans la gamme, blanc brillant, imitation bois qui blufferait votre voisin architecte, vitrage double ou triple, accessoires qui changent tout, formats sur commande, vous adaptez sans problème, petit studio ou maison centenaire.
Chez les défenseurs du bois, le discours a de quoi séduire, on parle solidité venue du siècle dernier, toucher unique, caractère sans équivalent. Les profils se font généreux, brute ou laqué, double vitrage performant, peinture qui respire, ferronnerie vieillie, les options filent vite, à chaque huisserie sa petite originalité. L’un et l’autre acceptent les ouvertures oscillantes, choix soufflet, châssis carré, version cintrée, pas moyen de s’ennuyer si vous aimez jouer sur les formes et les atmosphères.
| Type de fenêtre | Certification | Norme Environnementale |
|---|---|---|
| Fenêtre PVC | NF CSTB, CEKAL | Recyclage PVC/RE 2020 |
| Fenêtre bois | NF CSTB, PEFC/FSC | Gestion durable des forêts |
Normes françaises obligatoires, vous tombez sur le logo NF ou CSTB, preuve que la performance est contrôlée. Le bois certifié PEFC ou FSC rassure sur la provenance forestière, condition incontournable si la rénovation veut tenir ses promesses. Et le PVC alors ? La nouvelle certification Recyclage colle enfin à l’image du matériau, pas question de garder le cliché « plastique polluant », les progrès sont là. Les labels et certifications servent de boussole pour un achat réfléchi, prenez le réflexe de les repérer sur les catalogues, le secteur ne fait plus l’impasse en 2025.
Les performances d’isolation, chaleur et silence, la fenêtre PVC face au bois
Effet cocon, cela démarre vite avec la fenêtre PVC, la structure limite radicalement les pertes thermiques, les doubles et triples vitrages enfoncent le clou. En 2025, la résistance thermique s’améliore encore, le coefficient Uw des meilleurs modèles tombe sous 1,3 W/m²K, courant d’air envolé, confort immédiat. L’isolation ne se limite pas à la température, la structure étanche couplée à des joints soudés barre la route au brouhaha extérieur. 35 à 40 dB filent aux oubliettes, selon études officielles, le résultat frappe d’entrée, le silence entre dans le salon.
Mais le bois ne lâche rien, l’inertie naturelle calme les sons, surtout en ville, le chêne ou l’iroko dense avale certains bruits mieux que le PVC premier prix. La qualité du dormant, les vitrages, tout y rejoue un rôle. Si le menuisier est méticuleux, la fenêtre bois tutoie belle performance, mais demande plus de soin dans le temps et un choix judicieux de l’essence. Petite différence, dans les coins venteux ou en bord de mer, la fenêtre PVC s’en sort mieux, plus stable, moins sensible à l’humidité qui déforme le bois.
À quoi s’en tenir pour les chiffres ? En 2025, une fenêtre PVC double vitrage affiche généralement un Uw de 1,3 à 1,5, le bois se cale à 1,4 à 1,7 avec entretien régulier, source CSTB. Côté isolation phonique, 35 à 39 dB pour le PVC soigné, 32 à 38 dB pour le bois épais, le choix se joue dans le détail. Vous ciblez la performance immédiate ? Vous n’aimez pas bricoler ? Le PVC paraît tout trouvé. Les climats durs ne pardonnent rien, la fenêtre PVC tient la barre.
Le coût d’une fenêtre PVC ou d’une menuiserie bois, budget et retour sur investissement
Les chiffres tombent souvent comme un couperet, investir dans le bois fait peur, le PVC sent le portefeuille préservé, la réalité 2025 nuance pourtant un brin. Le tarif d’une fenêtre PVC à deux vantaux standard s’étale entre 250 et 500 euros pose comprise, selon les grandes enseignes nationales. Triple vitrage ou du sur-mesure, la note grimpe à 750 euros, tandis que le bois démarre à 450 euros et s’envole parfois au-delà de 1 000 euros pour les essences qui vous font rêver. L’écart dépend de la taille, de la forme, du type d’ouverture, chaque choix compte.
Mais l’avantage du PVC, c’est l’entretien, pas de peinture à renouveler, une éponge règle le problème, pollution ou traces de doigts s’effacent sans effort. La résistance naturelle du PVC évite l’usure, pas d’altération par le gel ou le soleil, à l’inverse du bois qui réclame une lasure ou une peinture tous les sept ans sous peine de ternir. Sur 20 ans, les budgets décollent rarement côté PVC, le bois finit toujours par réclamer argent et énergie. Durée de vie alors ? Posez bien la question, une bonne pose PVC dure 30 à 40 ans sans broncher, un bois négligé faiblit dès la deuxième décennie.
- La fenêtre PVC, entretien minimal, coût modéré, longévité avérée
- Le bois, esthétique inégalable, budget à prévoir pour la maintenance
- Les performances thermiques se valent souvent, mais l’entretien fait la différence sur la durée

